
Adama Dieng, a Senegalese jurist, was appointed as Under-Secretary-General and Special Adviser of the United Nations Secretary-General on the Prevention of Genocide in September 2012. Prior to this, he joined the UN in 2001 as Assistant Secretary-General and Registrar of the International Criminal Tribunal for Rwanda. During his UN tenure, Mr. Dieng has served in a range of capacities, including as the top expert on Haiti and Envoy to Malawi, and has headed of numerous human rights fact-finding missions around the world. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Nullam porttitor augue a turpis porttitor maximus. Nulla luctus elementum felis, sit amet condimentum lectus rutrum eget. Before joining the UN, Mr. Dieng was Secretary General of the International Commission of Jurists (ICJ) from 1990-2000.
He also served as editor for ICJ’s legal journal “Review” and as a legal columnist. Before joining the UN, Mr. Dieng was Secretary General of the International Commission of Jurists (ICJ) from 1990-2000. He also served as editor for ICJ’s legal journal “Review” and as a legal columnist.
Mr Dieng has served on a long line of boards and councils, including of International IDEA, the Africa Leadership Forum, the International Institute of Human Rights, and the African Centre for Democracy and Human Rights Studies. He is also the former President of the Martin Ennals Foundation and Founder of the Panafrican Alliance for Transparency and The Rule of Law and has served as a member of the UNESCO International Advisory Committee on Poverty and Human Rights.
Adama Dieng, un juriste sénégalais, a été nommé comme secrétaire général adjoint et conseiller spécial du secrétaire général de l’ONU pour la prévention du génocide en septembre 2012. Auparavant, il avait rejoint l’ONU en 2001 comme sous-secrétaire général et greffier du Tribunal pénal international sur le Rwanda (TPIR). Au sein des Nations Unies, M. Dieng a occupé différentes fonctions, dont celle d’expert indépendant sur Haïti et d’émissaire du secrétaire général au Malawi. Il a aussi dirigé de nombreuses missions d’établissement des faits sur les droits de l’homme dans le monde.
Avant de rejoindre l’ONU, il était secrétaire général de la Commission internationale de juristes de 1990 à 2000. Il a aussi œuvré pour la publication juridique de cette institution, « Review », et comme éditorialiste judiciaire. M. Dieng a fait partie d’une longue lignée de conseils d’administration ou de fondation, comme l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale (IDEA), le Forum africain sur le leadership, l’Institut international des droits de l’homme ou encore le Centre africain pour la démocratie et les études sur les droits de l’homme. Il est également un ancien président de la Fondation Martin Ennals à Genève, a été membre du Comité consultatif international de l’UNESCO sur la pauvreté et les droits de l’homme et a lancé l’Alliance panafricaine pour la transparence et l’Etat de droit.
He also served as editor for ICJ’s legal journal “Review” and as a legal columnist. Before joining the UN, Mr. Dieng was Secretary General of the International Commission of Jurists (ICJ) from 1990-2000. He also served as editor for ICJ’s legal journal “Review” and as a legal columnist.
Mr Dieng has served on a long line of boards and councils, including of International IDEA, the Africa Leadership Forum, the International Institute of Human Rights, and the African Centre for Democracy and Human Rights Studies. He is also the former President of the Martin Ennals Foundation and Founder of the Panafrican Alliance for Transparency and The Rule of Law and has served as a member of the UNESCO International Advisory Committee on Poverty and Human Rights.
Adama Dieng, un juriste sénégalais, a été nommé comme secrétaire général adjoint et conseiller spécial du secrétaire général de l’ONU pour la prévention du génocide en septembre 2012. Auparavant, il avait rejoint l’ONU en 2001 comme sous-secrétaire général et greffier du Tribunal pénal international sur le Rwanda (TPIR). Au sein des Nations Unies, M. Dieng a occupé différentes fonctions, dont celle d’expert indépendant sur Haïti et d’émissaire du secrétaire général au Malawi. Il a aussi dirigé de nombreuses missions d’établissement des faits sur les droits de l’homme dans le monde.
Avant de rejoindre l’ONU, il était secrétaire général de la Commission internationale de juristes de 1990 à 2000. Il a aussi œuvré pour la publication juridique de cette institution, « Review », et comme éditorialiste judiciaire. M. Dieng a fait partie d’une longue lignée de conseils d’administration ou de fondation, comme l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale (IDEA), le Forum africain sur le leadership, l’Institut international des droits de l’homme ou encore le Centre africain pour la démocratie et les études sur les droits de l’homme. Il est également un ancien président de la Fondation Martin Ennals à Genève, a été membre du Comité consultatif international de l’UNESCO sur la pauvreté et les droits de l’homme et a lancé l’Alliance panafricaine pour la transparence et l’Etat de droit.

Ann Cooper is an award-winning journalist and foreign correspondent with more than 25 years of radio and print reporting experience. She also worked eight years as executive director of the Committee to Protect Journalists, before joining the Columbia Journalism School faculty in 2006. Ms. Cooper served as National Public Radio’s Moscow bureau chief during the tumultuous final five years of Soviet communism, and co-edited the book “Russia at the Barricades” about a failed 1991 coup attempt.
Ms. Cooper has also served as NPR’s Johannesburg bureau chief, and her coverage of South Africa’s first all-race elections in 1994 helped NPR win a duPont-Columbia silver baton for excellence in broadcast journalism.
She has also reported for a number of newspapers, including the Baltimore Sun and National Journal magazine. In 1996, she was the Edward R. Murrow fellow at the Council on Foreign Relations, and in 2003, she was the James H. Ottaway Sr. Visiting Professor of Journalism at State University of New York.
Ms. Cooper serves as a member of CPJ’s Leadership Council, and is the Columbia Journalism School’s International Director.
Ann Cooper est une journaliste récompensée pour son travail de correspondante étrangère avec une expérience de plus de 25 ans dans la couverture d’actualités pour la radio et la presse écrite. Elle a aussi travaillé pendant huit ans comme directrice exécutive du Comité pour la protection des journalistes (CPJ) avant de rejoindre la faculté de la Columbia Journalism School en 2006.
Mme Cooper a notamment été cheffe du bureau de Moscou pour la radio publique américaine (NPR) pendant les cinq dernières années tumultueuses de l’Union soviétique et a co-publié l’ouvrage « La Russie aux barricades » sur le coup d’Etat manqué de 1991.
Plus tard, elle a dirigé le bureau de Johannesburg de NPR et sa couverture des premières élections multiraciales de 1994 en Afrique du Sud a contribué à valoir à sa radio une récompense pour la qualité du journalisme audiovisuel.
Elle a également collaboré avec plusieurs titres de la presse écrite comme le Baltimore Sun et le magazine National Journal. En 1996, elle a été la Edward R. Murrow Fellow au Conseil des relations étrangères (CFR) et a elle été en 2003 professeure invitée en journalisme à l’Université d’Etat de New York.
Mme Cooper est membre du Leadership Council (conseil consultatif) du CPJ et elle est la directrice internationale de la Columbia Journalism School établie aux Etats-Unis.
Ms. Cooper has also served as NPR’s Johannesburg bureau chief, and her coverage of South Africa’s first all-race elections in 1994 helped NPR win a duPont-Columbia silver baton for excellence in broadcast journalism.
She has also reported for a number of newspapers, including the Baltimore Sun and National Journal magazine. In 1996, she was the Edward R. Murrow fellow at the Council on Foreign Relations, and in 2003, she was the James H. Ottaway Sr. Visiting Professor of Journalism at State University of New York.
Ms. Cooper serves as a member of CPJ’s Leadership Council, and is the Columbia Journalism School’s International Director.
Ann Cooper est une journaliste récompensée pour son travail de correspondante étrangère avec une expérience de plus de 25 ans dans la couverture d’actualités pour la radio et la presse écrite. Elle a aussi travaillé pendant huit ans comme directrice exécutive du Comité pour la protection des journalistes (CPJ) avant de rejoindre la faculté de la Columbia Journalism School en 2006.
Mme Cooper a notamment été cheffe du bureau de Moscou pour la radio publique américaine (NPR) pendant les cinq dernières années tumultueuses de l’Union soviétique et a co-publié l’ouvrage « La Russie aux barricades » sur le coup d’Etat manqué de 1991.
Plus tard, elle a dirigé le bureau de Johannesburg de NPR et sa couverture des premières élections multiraciales de 1994 en Afrique du Sud a contribué à valoir à sa radio une récompense pour la qualité du journalisme audiovisuel.
Elle a également collaboré avec plusieurs titres de la presse écrite comme le Baltimore Sun et le magazine National Journal. En 1996, elle a été la Edward R. Murrow Fellow au Conseil des relations étrangères (CFR) et a elle été en 2003 professeure invitée en journalisme à l’Université d’Etat de New York.
Mme Cooper est membre du Leadership Council (conseil consultatif) du CPJ et elle est la directrice internationale de la Columbia Journalism School établie aux Etats-Unis.

Anthony Bellanger est un journaliste indépendant français et secrétaire général de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) depuis novembre 2015. Il collabore toujours avec de nombreux médias internationauxcomme Mediapart, Equal Times, Le Monde Diplomatique et L’Humanité.
Il est actif depuis plus de 15 ans comme syndicaliste et a notamment oeuvré comme Premier secrétaire général du Syndicat National des Journalistes en France de 2011 à 2014. Il a travaillé largement sur un certain nombre de questions liées à la profession de journaliste, dont la sécurité des journalistes, la réglementation de la presse, les législations restrictives en terme de surveillance, les négociations collectives ou encore les discriminations en terme de genre dans les médias. Il est aussi docteur en histoire de l’Université d’Angers.
Anthony Bellanger is a French freelance journalist and secretary general of the International Federation of Journalists (IFJ) since November 2015. He continues to collaborate with many international media such as Mediapart, Equal Times, Le Monde Diplomatique and L’Humanité.
He has been active for more than 15 years as a trade unionist and notably worked as First Secretary General of the National Syndicate of Journalists in France from 2011 to 2014. He has worked extensively on a number of issues related to the profession of journalist, including security. journalists, the regulation of the press, restrictive legislation in terms of surveillance, collective bargaining or gender discrimination in the media. He is also a doctor of history at the University of Angers.
Il est actif depuis plus de 15 ans comme syndicaliste et a notamment oeuvré comme Premier secrétaire général du Syndicat National des Journalistes en France de 2011 à 2014. Il a travaillé largement sur un certain nombre de questions liées à la profession de journaliste, dont la sécurité des journalistes, la réglementation de la presse, les législations restrictives en terme de surveillance, les négociations collectives ou encore les discriminations en terme de genre dans les médias. Il est aussi docteur en histoire de l’Université d’Angers.
Anthony Bellanger is a French freelance journalist and secretary general of the International Federation of Journalists (IFJ) since November 2015. He continues to collaborate with many international media such as Mediapart, Equal Times, Le Monde Diplomatique and L’Humanité.
He has been active for more than 15 years as a trade unionist and notably worked as First Secretary General of the National Syndicate of Journalists in France from 2011 to 2014. He has worked extensively on a number of issues related to the profession of journalist, including security. journalists, the regulation of the press, restrictive legislation in terms of surveillance, collective bargaining or gender discrimination in the media. He is also a doctor of history at the University of Angers.

Beatrice Fihn is the Executive Director of the International Campaign to Abolish Nuclear Weapons (ICAN), the 2017 Nobel Peace Prize-winning campaign coalition that works to prohibit and eliminate nuclear weapons.
Ms. Fihn led the campaign since 2013 and has worked to mobilize civil society throughout the development of the Treaty on the Prohibition of Nuclear Weapons. Previously, she managed the disarmament programme at the Women’s International League for Peace and Freedom and the Reaching Critical Will project as well as worked with the Geneva Centre for Security Policy.
She has delivered keynote lectures on weapons law, humanitarian law, civil society engagement in diplomacy and multilateral institutions, as well as the gender perspective on disarmament work.
Ms. Fihn holds a Masters Degree in Law from the University of London and a Bachelor’s Degree in International Relations from Stockholm University. She was recently listed as one of the 50 innovators who changed the global landscape in 2017 by Bloomberg Media. Ms. Fihn is also Executive Producer of the film “The Day the World Changed”, the first-ever interactive virtual reality memorial experience to pay tribute to those effected directly by nuclear warfare spanning back to 1945.
Beatrice Fihn est la directrice exécutive de la Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires (ICAN), coalition qui œuvre pour interdire et éliminer cet armement et lauréate du Prix Nobel de la Paix 2017.
Mme Fihn pilote ICAN depuis 2013 et a travaillé pour mobiliser la société civile au travers du développement du Traité d’interdiction des armes nucléaires. Auparavant, elle a dirigé le programme de désarmement à la Ligue internationale des femmes pour la paix et la liberté et le projet Reaching Critical Will. Elle a aussi collaboré au Centre de politique de sécurité de Genève (GCSP).
Elle a donné des conférences sur le droit des armes, le droit humanitaire, l’engagement de la société civile dans la diplomatie et les institutions multilatérales ou encore la perspective de genre dans le travail sur le désarmement.
Mme Fihn est titulaire d’un Master en droit de l’Université de Londres et un Bachelor en relations internationales de l’Université de Stockholm. Elle a été récemment listée comme l’une des 50 innovateurs qui ont changé le paysage mondial en 2017 par Bloomberg Media. Mme Fihn est également productrice exécutive du film « Le jour où le monde a changé », première expérience mémorielle interactive à rendre hommage à ceux qui ont été affectés directement par la guerre nucléaire depuis 1945.
Ms. Fihn led the campaign since 2013 and has worked to mobilize civil society throughout the development of the Treaty on the Prohibition of Nuclear Weapons. Previously, she managed the disarmament programme at the Women’s International League for Peace and Freedom and the Reaching Critical Will project as well as worked with the Geneva Centre for Security Policy.
She has delivered keynote lectures on weapons law, humanitarian law, civil society engagement in diplomacy and multilateral institutions, as well as the gender perspective on disarmament work.
Ms. Fihn holds a Masters Degree in Law from the University of London and a Bachelor’s Degree in International Relations from Stockholm University. She was recently listed as one of the 50 innovators who changed the global landscape in 2017 by Bloomberg Media. Ms. Fihn is also Executive Producer of the film “The Day the World Changed”, the first-ever interactive virtual reality memorial experience to pay tribute to those effected directly by nuclear warfare spanning back to 1945.
Beatrice Fihn est la directrice exécutive de la Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires (ICAN), coalition qui œuvre pour interdire et éliminer cet armement et lauréate du Prix Nobel de la Paix 2017.
Mme Fihn pilote ICAN depuis 2013 et a travaillé pour mobiliser la société civile au travers du développement du Traité d’interdiction des armes nucléaires. Auparavant, elle a dirigé le programme de désarmement à la Ligue internationale des femmes pour la paix et la liberté et le projet Reaching Critical Will. Elle a aussi collaboré au Centre de politique de sécurité de Genève (GCSP).
Elle a donné des conférences sur le droit des armes, le droit humanitaire, l’engagement de la société civile dans la diplomatie et les institutions multilatérales ou encore la perspective de genre dans le travail sur le désarmement.
Mme Fihn est titulaire d’un Master en droit de l’Université de Londres et un Bachelor en relations internationales de l’Université de Stockholm. Elle a été récemment listée comme l’une des 50 innovateurs qui ont changé le paysage mondial en 2017 par Bloomberg Media. Mme Fihn est également productrice exécutive du film « Le jour où le monde a changé », première expérience mémorielle interactive à rendre hommage à ceux qui ont été affectés directement par la guerre nucléaire depuis 1945.

Didier Burkhalter, He started out in his village parliament, but quickly moved up to the cantonal leve. He also joined the Neuchatel city government and served as mayor of the city several times, before climbing onto the national stage in 2003, serving first in the lower house of parliament and later in the upper house.
He joined the Swiss government in 2009, first in charge of the interior ministry and later as foreign minister — a post he held until he resigned from government in October 2017.
In 2014, Didier Burkhalter held the country’s rotating one-year presidency, serving as Switzerland’s top representative in the world.
He also precided over the Organization for Security and Cooperation in Europe (OSCE) that year. Since retiring from government, Didier Burkhalter has become a full-time author, publishing three books in just over a year: “Enfance de terre” (Childhood of the Earth) 2017, “Là où lac et montagne se parlent” (Where lakes and mountains speak) 2017, and “Mer porteuse” (Surrogate ocean) 2018. Didier Burkhalter is married with Friedrun Sabine and the father of three grown sons.
Didier Burkhalter, Né en 1960 au bord du lac de Neuchâtel, Didier Burkhalter a choisi l’engagement politique après ses études d’économie.
D’abord au parlement d’un village et d’un canton, puis à l’Exécutif d’une ville, avant de se consacrer à l’une des Chambres fédérales, puis à l’autre, et enfin d’entrer en 2009 au Conseil fédéral et de devenir président de la Confédération suisse et de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) en 2014.
Chargé dans un premier temps du département de l’Intérieur, il prend ensuite le pari des Affaires étrangères qu’il mène jusqu’à fin octobre 2017, avec la responsabilité de promouvoir les valeurs de la Suisse dans le monde.
Il se lance ensuite dans l’écriture, avec le récit « Enfance de terre » en 2017, puis les romans « Là où lac et montagne se parlent » et « Mer porteuse » en 2018.
Didier Burkhalter est marié à Friedrun Sabine et père de trois fils adultes.
He joined the Swiss government in 2009, first in charge of the interior ministry and later as foreign minister — a post he held until he resigned from government in October 2017.
In 2014, Didier Burkhalter held the country’s rotating one-year presidency, serving as Switzerland’s top representative in the world.
He also precided over the Organization for Security and Cooperation in Europe (OSCE) that year. Since retiring from government, Didier Burkhalter has become a full-time author, publishing three books in just over a year: “Enfance de terre” (Childhood of the Earth) 2017, “Là où lac et montagne se parlent” (Where lakes and mountains speak) 2017, and “Mer porteuse” (Surrogate ocean) 2018. Didier Burkhalter is married with Friedrun Sabine and the father of three grown sons.
Didier Burkhalter, Né en 1960 au bord du lac de Neuchâtel, Didier Burkhalter a choisi l’engagement politique après ses études d’économie.
D’abord au parlement d’un village et d’un canton, puis à l’Exécutif d’une ville, avant de se consacrer à l’une des Chambres fédérales, puis à l’autre, et enfin d’entrer en 2009 au Conseil fédéral et de devenir président de la Confédération suisse et de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) en 2014.
Chargé dans un premier temps du département de l’Intérieur, il prend ensuite le pari des Affaires étrangères qu’il mène jusqu’à fin octobre 2017, avec la responsabilité de promouvoir les valeurs de la Suisse dans le monde.
Il se lance ensuite dans l’écriture, avec le récit « Enfance de terre » en 2017, puis les romans « Là où lac et montagne se parlent » et « Mer porteuse » en 2018.
Didier Burkhalter est marié à Friedrun Sabine et père de trois fils adultes.

Vaiju Naravane is Professor of the Practice of Journalism and Media Studies at Ashoka University. For the past three decades she has held senior positions covering Europe, notably for The Times of India, Radio France Internationale, AITV and The Hindu. Prof. Naravane has taught Journalism and Contemporary Indian Literature at Sciences-Po, both in Paris and Le Havre and was the Director of Information of the Geneva-based World Health Organization. She is Foreign Fiction Editor at Albin Michel in Paris and is currently working on her second novel.
Prof. Naravane obtained degrees in the Humanities and Journalism from Pune University and spent a year travelling and writing in the USA as a Fellow of the World Press Institute, Saint Paul, Minnesota.
Vaiju Naravane est professeure de pratique du journalisme et des médias à l’Université Ashoka en Inde. Elle a couvert l’actualité en Europe durant les trois dernières décennies, notamment pour le Times of India, Radio France Internationale, AITV et The Hindu. Elle a enseigné le journalisme et la littérature indienne contemporaine à Sciences-Po Paris et Le Havre. Elle aussi a été directrice de l’information de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle travaille actuellement sur son second roman.
Prof. Navarane est diplômée en journalisme et sciences humaines de l’Université de Pune et elle a passé un an à voyager et écrire comme Fellow du World Press Institute aux Etats-Unis.
Prof. Naravane obtained degrees in the Humanities and Journalism from Pune University and spent a year travelling and writing in the USA as a Fellow of the World Press Institute, Saint Paul, Minnesota.
Vaiju Naravane est professeure de pratique du journalisme et des médias à l’Université Ashoka en Inde. Elle a couvert l’actualité en Europe durant les trois dernières décennies, notamment pour le Times of India, Radio France Internationale, AITV et The Hindu. Elle a enseigné le journalisme et la littérature indienne contemporaine à Sciences-Po Paris et Le Havre. Elle aussi a été directrice de l’information de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle travaille actuellement sur son second roman.
Prof. Navarane est diplômée en journalisme et sciences humaines de l’Université de Pune et elle a passé un an à voyager et écrire comme Fellow du World Press Institute aux Etats-Unis.
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